[Quête] une menace venu de la mer

La mer était calme, le vent docile mais fort, le temps était idéal. L’aube pointait à peine, un peu comme un signal d’alerte tiré pour prévenir du danger. Au cas où la flotte de drakkar en train d’avancer sur les flots n’ait pas été suffisante. Car c’était une véritable flotte qui avançaient en direction des cotes du continent pour mener leur raide. Une véritable armée de navire, tous plus menaçant les uns que les autres, leur voiles rouges et leur proue en dragon se dessinant parfaitement sur le ciel bleu.

Au loin, une cloche sonna, alertant toute la ville de l’attaque imminente. Une magnifique ville, tout de blanc, avec ses riches ports, son château incroyable, ses hautes murailles. Tout cela serait bientôt rasé dans le seul but de financer les guerres du peuple viking.

Odin, surnommé ainsi pour le dieu qu’il sert, et pour le dieu qui lui a accordé le don céleste, le champion du peuple, regardait la ville, sachant parfaitement ce que ses hommes pensaient. Et si ce raide se passait mal ? Jamais ils n’avaient attaqué une ville si puissante. Ses cheveux rouges battant au vent, il se retourna face à ses hommes, dos au dragon figurant sur l’avant du navire. Son drakkar était en tête, suivit de près par la force de frappe, puis des barges qu’ils avaient du trainé.

« Belle journée hein ? » Hurla le paladin d’Odin « Une belle journée pour un massacre ! Aujourd’hui, nous allons tellement nous enrichir, que nous ne pourrons même pas tout emmener ! Aujourd’hui, nous allons tellement nous amuser que tout nos autres raides paraitront fade par rapport a celui-ci ! »

Plus loin, celui que sur ce continent ils appelaient le barbare, du haut de ses 60 ans regardaient Odin s’adressait à tout les drakkars autour de lui. C’était un de ses meilleurs amis, même s’il ne servait pas les mêmes dieux, et n’avait visiblement aucun talant commun. Odin savait se battre, et le faisait même particulièrement bien, et savait se faire entendre de ces hommes. Lui-même était connu et même vénéré de tous dans son pays pour être le plus grand stratège que le monde est connu. Un érudit qui n’avait jamais perdu de bataille, même les plus désespéré.

Odin regarda derrière les drakkars, en direction des barges, laissant planer un silence pour laisser aux hommes le temps d’assimiler le tout. Voyant que le minutage était bon, il les regarda à nouveaux et poursuivit :

« Aujourd’hui est une belle journée pour les Viking, AUJOURD’HUI EST UNE JOURNEE POUR LE SANG ! »

Au même instant, les puissants trébuchets lancèrent leurs boulets enflammés. Le ciel se tinta de parcelles rouges pendant un instant, les boulets tels des météores dans l’effet le plus impressionnant. Le discours d’Odin, d’abord rythmé par les cloches d’alerte fut bientôt rythmé par le fracas des projectiles frappant le mur. De véritable parcelle de la muraille tombèrent, des ennemis moururent avant même d’avoir tué un homme. Les Vikings se rappelèrent alors que ce raide était mené par le Général Adus et le puissant Odin. Comment échouer ?

Les drakkars vinrent s’échouer sur la plage, si léger qu’ils remontèrent profondément sur la plage. Quelques flèches volèrent, mais très peu. Les défenseurs étaient encore en état de chocs. Encore une avancé et se serait la déroute complète.

Adus, le général barbare, fit un signe a son second, Odin. Le paladin ocha simplement la tête et sauta par-dessus bord. Il ratérit avec une grâce impossible par rapport a sa masse. L’on aurait dit un croisement des meilleures qualités d’un mercenaire du chaos et d’un ombre. Un mélange meurtrier et très dangereux.

« Vous sentez ce parfum ? » Beugla Odin « C’est l’or que vous sentez ! Encore un peu, et vous pourrez mettre un gout sur ce parfum ! »

Et il s’élança, la hache bien visible dans une course incroyablement rapide. Les hommes le suivaient, affamé de sang et d’or par les promesses de leur leadeur charismatique. Les hommes se mettaient en lignes bien séré et partirent en courant. Mais contrairement à une charge classique, celle-ci avait l’avantage de garder les hommes l’un près de l’autre, et chacun pouvait aider ses voisins en cas de soucis.

Ardus regardait ses hommes avancer et analysait la situation. Un 2e tir de trébuchet partit alors que les défenseurs commençaient à tirer. Les rochers en fusion eurent pour effet de stopper la faible résistance et d’agrandir sensiblement les brèches déjà bien ouvertes. Odin se mit à courir a une vitesse surhumaine, suivit bientôt par ses hommes. Le Général fit signe au artilleur de cesser le feu. La charge stoppa d’un coup, au contact des armée, mais eut pour effet de profondément enfoncé la ligne de fond dans la ville et la percée fut rapide. La déroute fut totale et ses hommes ne firent aucun prisonnier parmi les hommes.

Odin, courrait, de plus en plus vite. La brèche la plus grande et la mieux gardé était en face de lui. Une frappe majeure en cet endroit affaiblirait considérablement le moral ennemi, et une frappe simultanée de toutes les brèches créerait une déroute collective. Le vieux général devait l’avoir compris, et avoir donné ses ordres en considération. C’était maintenant à Odin de faire son travail. Il fonça sur le longue pique ennemi, et d’un coup de hache, les cassa, puis d’un grand mouvement de balayage, il envoya 5 soldats à gauche. Sa force était surhumaine, et seul ses réflexes, sa rapidité et son agilité était à la hauteur. En à peine 5 minutes, la trouée était faite. Odin hurla pour encourager ses hommes derrière lui à avancer. Les ennemis fuyaient !

« Archer ! » ordonna Odin « FEU ! »

Les flèches et carreaux volèrent, les hommes leur tournant le dos moururent par paquet de 20, parfois même 30. Des centaines de cadavres recouvrirent bientôt le sol et seul une minorité réussit à fuir.

« Escouade 1, 2, 3, 4 et 5, vous terminez les poches de résistance » Ordonna le paladin « Le reste, avec moi au château »

Le timing était bon, même parfais, et l’armée se coupa en 2 part à peu près équitable. Sans arme de siège, la prise du château serait bien plus difficile, c’est pourquoi le paladin voulait a tout prix y arriver avant qu’il n’ait le temps de terminer la retraite de leur hommes.

Au même moment, un cavalier sortait par la porte nord. Plié en 2 sur son cheval, portant l’insigne des messagers de la cité, il avait une mission. La seule force capable de repousser une telle vague d’attaquant se trouvait au nord. Les puissants chevaliers seraient en mesure de les sauver. Il fallait qu’il fasse vite, et jamais il n’avait galopé si vite. Une flèche blanche dans un horizon d’un bleu Azur.

Les défenseurs n’avaient pas put fermer la porte avant qu’Odin arrive, et les flèches lancer depuis le toit n’avaient aucun effet sur ses hommes protéger par une carapace de boucliers rectangulaires. La Tortue entra dans le château, et les quelques cailloux lancé des murailles ne touchèrent jamais les vétérans. L’exécution des gardes, car ce n’était plus un combat mais bien une exécution, fut rapide et clair. Le château était à eux.

« Bravo les gars ! Vous pouvez piller et vous amusez avec les femmes, mais aucun tué parmi les femmes et les enfants, on en a besoin en temps qu’esclaves. C’est bien compris ? » Déclara Odin

Personne n’osa remettre en question ses ordres, et tous se dispersèrent pour trouver la plus belle femme avant qu’elle ne soit prise. Voilà bien longtemps que le paladin n’avait plus à courir pour trouver une demoiselle qui lui donnerait du plaisir car tous lui laissait, et plus que de très rare ayant l’estime de leur chef osait toucher au noble. Car Odin avait un goût certain pour les dames de haut rang.

Il avança sans se presser et entra dans le château. Les quelques hommes qui tentèrent de l’en empêcher ne connurent pas une fin des plus glorieuse, car ils n’eurent pratiquement jamais le temps de comprendre ce qui leur arrivait. Il fit son choix rapidement, et en profita.

Ardus regardait la ville. Après la déroute, la victoire fut facile. En quelques minutes à peine toute la ville était sous leur contrôle. Le Général décida d’accorder à ses hommes une journée de plaisir, puis sonnerait le retour. Autour de lui, des drakkars accostait enfin, toujours plus nombreux à s’échouer sur cette ville. Ce n’était pas vraiment utile, mais le général avait cru bon d’emmener une armée importante vu la taille de la ville assiéger. Il avait peut-être était trop prudent.

Le cavalier sur son cheval blanc arriva enfin devant le château d’argent. L’entrée n’était pas privée et les gardes le laissèrent entrer. Il monta rapidement toutes les marches qui menaient à la salle du trône et y trouva un chevalier qui y siégeait. Ce n’était pas le commandant, mais surement son second

« Mon seigneur ! La ville est attaquée ! Au moins 1000 Vikings ! La ville est déjà perdue, mais on peut peut-être encore sauver les prisonniers ! »

Tout le monde le regarda comme un possédé, mais les marques de sang, heureusement pas le sien, sur son corps n’augmentait sa crédibilité.

C'était une journée calme comme toutes les journée dans la capitale. Il faissait tout de même une chaleur insuportable dans le chateau d'argent. Les gardes avaient reçus l'autorisation d'enlever leurs armures. Cette ordre n'avait pas été donner par Faolin, le puissant chef des chevaliers d'argent, mais par son second, Nari Cypher, celui qui redonnait l'espoir que les grandes familles seraient bientôt de retour.

Deux déscendants des anciens héros étaient de retour. Le premier était Nari Cypher fils de Richard Cypher et de Kalhan Amnell, deux membres de grandes familles. Le second était Aurélia Zorander, fille de Zeddicus Zull Zorander, un célèbre chevalier d'argent connût pour avoir survécus dans les lignes énnemis pendant deux semaines aux cotés de Richard Cypher.

Le grand chevalier Nari était assis sur le trône de l'ordre. Il était très rare qu'il séjourne à Calduin mais Faolin lui avait demander de veiller sur l'ordre en son absence. Il portait son armure et ses armes étaient près du trône inconfortable. Il bougeait en essayant de trouver une position adéquat, mais le siège était trop dûr. Il se mit à penser à ce pauvre Faolin qui devait rester assis pendant toute la journée.

A ses cotés était biensûr son écuyer, Lassa. Le jeune homme était presque devenut un homme, Nari lui avait appris tout son savoir sur le maniement des armes. Il allait bientôt participer au teste pour devenir chevalier d'argent, mais cela ne l'éffrayait pas. Ce qui lui faissait vraiment peur, c'était les femmes, en particulier une. L'écuyer c'était promis d'exprimer sa flamme dès qu'il serait adoubé.

Il portait une magnfique tunique d'argent que lui avait offert Nari pour ces 18 ans. A lui aussi ses armes étaient à ses cotés. Il avait tant voyager avec son entraineur qu'il était toujours sur ces gardes, près à dégainer son épée à la moindre menace. Ses cheveux blond étaient devenus plus grand, maintenant, ils lui arriver jusqu'aux épaules.

Un homme en tunique rouge vint s'approcher du second. Il marchait d'un pas sure. Chaqu'un de ses pas sur le carelage blanc résonnaient dans la salle du trône comme un échos. Il était vétus d'une très brillante armure qui vanait d'être nettoyer. Il portait aussi une cape rouge ce qui dévoiler son identité. Son visage était cacher par un heaume, celui des dragons, qui leurs assuraient protection et sureté pendant les combats. Arriver devant le trône le capitaine des chavaliers dragon s'inclina en hotant son heaume. Nari ce leva, les jambes engourdies, et séra l'avant bras de capitaine pour le saluer.

-Je t'en pris, mon ami! Ne t'encline pas devant moi, je n'en vaux pas la peine! Alors, de bonnes nouvelles? demanda Nari enthousiaste.

-Oui, sire, de très bonnes nouvelles. Nous venons de recruter 50 soldats de plus! raconta l'homme.

-Très bien Kardey, je m'en réjouis!

Nari recrutait des soldats de tout l'empire. Il étaient réunis à Calduin. Dès qu'ils seraient assez nombreux, le chevalier ordonerais qu'ils se disperces et qu'ils fassent régner la paix et la justice.

Soudain, un homme bléssé entra dans la salle du trône. Nari était de nouveau assis sur le trône inconfortable. Quand il apris la nature de sa visite, il questionna le messager, mais il tomba inconsiant. Le second se leva et se tourna vers Kardey.

-Je souhaite que les dragons soient près à partir dans la minute qui vient!

-Oui, sire.

Il s'inclina et partit en courant. Très vite des guérisseurs arrivèrent avec un branquart.

Quelque chose n’allait pas. Les femmes que regardait Odin n’avaient pas peur mais été nerveuse. Comme si elle tentait de gagner du temps. Pourquoi ? La ville était vaincue, il n’y avait plus de soldat. Le reste de la journée s’annonçait mal. Qu’es ce qui pouvait leur donner espoir ? Des renforts ?

Dans le doute, le paladin décida de passer son tour pour la prochaine heure. De toute façon personne n’oserait en profiter pour s’en prendre à une fille noble dans le doute qu’il n’ait pas encore choisi. C’était l’une des quelques centaines des petits jeux qu’il ne fallait pas jouer avec le paladin.

La traversé de la ville jusqu’au drakkar-QG ou se trouvait le général n’était pas très loin, et personne ne l’arrêta, pas même les gardes d’élites. Pourquoi faire de toute façon ? Il aurait pu à lui seul vaincre la moitié de l’armée. Le chef de guerre était là, devant une de ces cartes, toujours sur ces gardes. Le paladin s’inclina.

« Je sais ce que tu va dire » Commença le général « Mais on ne sait jamais… »
« Que tu ne t’amuse jamais ? Je ne te le dirais pas cette fois. Les femmes nobles n’ont pas peur, elles tentent de gagner du temps. » Répliqua simplement Odin
« Peut-être un messager. C’est très envisageable, et on n’a pas tellement fait dans la discrétion. Mais ce raide ne servirait à rien si on ne pille pas. J’ordonnerais quand même aux hommes de se tenir prêt. Va t’amuser toi »

Le paladin s’inclina à nouveau et sortit. Son humeur était gâchée, et il ne voulait pas être surpris par le clairon en plein milieu de l’acte. Il se contenta donc de déambulé dans la ville, prenant ce qui l’intéressait sa et là. Une figurine en or, une pomme juteuse, une chevalière, une autre pomme, car la première était délicieuse. Des petits plaisir qui lui permirent de faire passer sa frustration de ces instants perdu.

Les armées se réunissaient. L’allure des soldats, si l’on pouvait appeler les hommes en haillons de cette façon, se mêlèrent les uns aux autres. La peur était visible sur chacun des visages. Car 17 petites villes et villages s’étaient réunit au simple de ce qu’ils osaient appeler une milice, et pourtant ils étaient en sous effectif par rapport à l’armée en face.

Mais ils devaient tenter un assaut. La milice se mit donc en marche, en direction de l’ex-splendide ville. Ils portaient presque tous des fourches, des faux, des couteaux de cuisines. Aucun n’avait une armure, ou ne serais-ce une épée. Même pas une arme que l’on puisse vraiment appeler ainsi.

Le général quant à lui analysait au maximum. Odin avait plus ou moins confirmé ces propres craints : l’ennemi arriverait surement. L’alliance du Sud ou les chevaliers d’argent. Les premiers n’étaient que de la chair à canons, et les deuxièmes ne seraient surement pas assez nombreux. Mais il ne pourrait pas résister à un assaut des deux. A moins d’avoir un bon plan. Et le général savait faire de bon plan. Il ne lui restait plus qu’à en trouver un.

« Toi là bas, trouve 10 hommes et envoient les en éclaireurs. » Ordonna le général à une sentinelle « Dit leur qu’ils auront double part pour les dédommager »

L’homme partit. Il faudrait donc attendre. Si l’ennemi arrivait, il serait prévenu de toute façon.

Les guerrisseurs enmenèrent le bléssé mais la panique continué.
-Lassa, tu seras le commendant des archers, qu'ils arrivent au plus vite sur le champs de bataille, ordonna t-il à son écuyer.

-Il en sera ainsi, répondit l'écuyer en baissant la tête en signe de respect avant de partir en courant.

Le chevalier prit ses épées et sifla. Le doux siflement mais puissant résonna dans la salle. Plus loins, Leyn, son fidèle destrier a la robe blanche entendit l'appel de son maître et fonça vers l'endroit d'où venait le siflement. Il quitta l'écurie, traversa la grande cour mouvementée, monta les escaliers quatres par quatre et arriva devant son maître.

Nari le monta et arriva dans la grande cour, il chevaucha jusqu'à la grande porte de la muraille et se plaça aux cotés de Kardey. Tous les chevaliers dragons se rassemblèrent devant les deux chefs. Ce regroupement était impréssionant et même éfrayant. Kardey se raprocha du chevalier d'argent.

-Les archers sont partis, dit-il.

-Bien, maintenant c'est notre tour, lui répondit-il.

Nari aperçeva un chevalier monter son destrier, une femme vint à lui et lui donna une fleur, elle le regarda se joindre au groupe en pleurant. Le second de Faolin avait le coeur lourd. Envoyais t-il ces hommes à une mort certaines? Aucuns de ces doutes étaient visible sur son visage, un visage pale, froid. Chaque soldats attendaient les ordres. Nari répondit à leurs questions muettes.

-Cavaliers! Une citée portuaire à était attaquer. Nous ne savons ni par qui ni leur nombre. Tout ce que nous savons c'est qu'il y a des prisonniers. Je ne vous ordonnerez pas de me suivre, cela m'est impossible d'avoir cette responsabilité, personne de sensé ne le peux. Si une personne veux resté qu'elle le dise, sachez que son honneur ne sera pas bafouer. En ce qui me conserne j'irais au combat quoiqu'il arrive, même si je dois y aller seul. Etes vous avec moi?!

-Oui! répondit-ils en coeur.

-Alors ils vont craindre nos lames! En rang, à la guerre et à la victoire! proclama-il en carressant Leyn.

Il ne frapper pas son cheval pour ce faire écouter, une carresse suffisé. C'était mieux ainsi il avait plus de chance de se faire écouter. Etrangement Cet étalon était le fils du destrier de son père, Richard Cypher, une belle ironie.

L'armée était en route, elle galopé avec grace, rapidité et agilité. Le capitaine Kardey et Nari étaient à la tête de cette armée magestieuse. Il croisèrent les 100 archers au pas de course. Eux aussi avaient eux le choix de renoncer. Ils étaient tous présent ce qui n'étona pas le chevalier d'argent.

Lassa courait en tête. Ils avaient tous la tête haute, fière, c'étaient leur jour de gloire et d'honneur. L'écuyer espérait que si il doit mourrir lors de cette bataille ça sera honorablement dans un combat juste. Un soldat de l'armée adverse était surement parfait pour une telle mission.

Pendant la chevauché, la dernière pour certains, ils traversèrent nombre d'obstacle naturel. Nari vit une dizaine de cavalier partir quand ils les virent.

-Des éclaireurs, songea t-il.

Arrivés devant la grande colline situé derrière la citée l'armée se stopa. Devant eux, des villageois, armées de fourches et autres outils. Nari désendis de Leyn et s'approcha. Le représentant des villageois fit de même.

-Vous êtes enfin arrivés! vous êtes les bienvenus, nous vous attendions pour un assaut.

-Etes vous sur de vouloir combatre? demanda perspicasement Nari.

-Biensur! jusqu'à la mort!

-Et bien soit, qu'il en sois ainsi.

Il se remit en scelle et gravit la colline accompagner de Kardey. Les énnemis pouvaient voir deux cavaliers sur une colline, le reste était cacher.

Nari observa les drakars sur le quai. L'érudit avaient lu de nombreux livres sur ces barbares qui pillent, viole les femme, puis repartent. L'ancêtre à Nari fût le premier à repousser cet ennemis. Les vikings l'appellaient l'homme a l'épée d'argent. Elle était redouté parmis tous, certains croyais même que c'était une légende. Ces sauvages croyaient en Odin, Thor et Loki. Des dieux barbares et sanguinèrent.

-Puisse le créateur être avec nous, dit Kardey en voyant le nombre de drakars.

Nari posa une main chaleureuse sur l'épaule de son compagnons pour lui redonner du courage. Le moment tant attendut, c'était l'heure du discourt.

-Soldats, mes frères! Vous voici à la bataille! Je suis conscient que certains d'entre vous n'ont jamais combatus en dehors de l'entrainement. Et je ne vous cache pas que les combats sont horrible. Mais vous êtes l'espoir des enfants qui vont devenir esclaves et des femmes qui se font violé pendant que je vous parle! Vous êtes notre espoir à tous. Je sais que vous y arriveraient car vous êtes les meilleurs de l'empires. Mais ce qui est plus grand que votre courage c'est votre coeur et votre bontée. Si vous le souhaiterez vous pouvaient tous devenir chevalier d'argent car vous ne vous êtes pas enfuit quand ceux dans le besoin avaient besoin d'aide. Et maintenant nous somme là, pour la liberté, montrons à ces vikings que nous sommes un peuple puissant!

Nari dégaina l'épée de vérité et la leva bien haut pour que tous les ennemis la voyent, l'épée tant redouté. Il carressa Leyn qui partis au galop suivit de Kardey. Toute l'armée apparut. Elle déscendit la colline tel une vague pour aller s'échoué sur les rochers.

Quelque chose clochait. Pourquoi les éclaireurs revenaient déjà ? Ils étaient partit depuis à peine une heure, et devait rester jusqu’au coucher du soleil ! Ces espèces de tir au flan allaient prendre de ces nouvelles, et on ne les reprendrait plus à revenir des heures trop tôt.

Mais là encore, quelque chose coupa Odin dans sa réflexion. Il ne rentrait pas comme des hommes cherchant à passer inaperçu, craignant la colère d’un chef plus haut placer, mais fuyant la queue entre les jambes une menace invisible. Les hommes avaient repéré des ennemis.

Il n’attendit pas que les hommes reviennent et courut à une vitesse totalement impossible pour sa masse, battant ses propres records de vitesse, et avec eux ceux de sa race. Il arriva au drakkar en très peu de temps, le QG des forces. Au loin, quelque chose refléta le soleil, puis un autre éclat. Encore un autre. Des centaines d’armure brillantes reflétaient maintenant le soleil, et des silhouettes noires s’agglutinaient autour de ces puissants soldats.

« Soldats, sonne le rassemblement » Dit Odin en passant « Signal : Contre attaque, et monte le drapeau en formation défensive »

Et il entra, pressé de prévenir son chef de l’arrivée imminente de ces ennemis, mais quand il entra, il vit son chef entouré de ces généraux, un plan de bataille dessiné sur la carte. Visiblement, le général avait encore un coup d’avance. A se demande comment il pouvait le faire ? Surement grâce à sa bénédiction de Thor.

« Il ne faut pas abuser de tes pouvoirs, général, mais bien joué » le félicita Odin « Quelle est le plan de bataille ? »
« Regarde par toi-même, tout est sur la carte. »

Un plan simple, mais redoutable. Comment pouvait-on contrer un plan tel que celui-ci ? Mais il fallait faire vite. Odin se rendit vers la cité, se retrouvant par un sens de l’orientation extraordinaire dans un labyrinthe de petite rue. Un véritable exploit, aussi peu glorieux soit-il. Quand il arriva au pied des hautes murailles encore intact, tout les hommes étaient en formation de combat et attendaient d’autres ordres. C’était tous des vétérans, des hommes expérimentés, et efficace. Mortellement efficace.

Odin les regarda tous, aucun ne ressentait de peur, juste de la colère pour le dérangement en plein milieu de leur prise de plaisir. Mais la colère était un bon point. Sans compté que le pillage du château d’argent pourrait être un beau dédommagement. Puis le regard du paladin passa sur les hommes au loin, ces ennemis. Ils semblaient subjuguer par un homme. Une cible prioritaire

« Soldats ! » Hurla Odin «Je n’aurais qu’une remarque : Connaissez vous le prix d’une armure totalement d’argent ? Une fortune ! Celui qui tu récupère le butin ! »

La réaction ne se fit pas attendre, chuchotement collective, prévision du butin. Personne ne voudrait perdre en sachant le butin qu’il perdrait. Les chevaliers en dehors de la ville chargeaient ! Odin s’était trompé dans ses estimations

« Archer sur les murs ! Vougier, derrière la porte ! » Beugla le paladin « Et fermez moi cette satané porte !! »

La porte se ferma, lentement, les larges poutres se soulevèrent. Trop tard, les chevaliers étaient trop proches.

« Laissez tomber ! Soldats, formez le mur ! »

Un arc de cercle se forma autour de la porte, bouclier contre bouclier. Une muraille se dessinait maintenant, presque infranchissable. Sauf pour de la cavalerie lourde. Et la meilleure cavalerie lourde leur fonçait actuellement dessus.

Ce fut ensuite au tour des hallebardes de s’abaisser. Le mur était maintenant équipé de longues lances, sur lesquels les chevaux viendraient s’empaler. Une volée de flèches s’envola, messager de la mort.

Un plan simple mais efficace : Les coincer dans cette étroit passage de la muraille, leur bloquer leur charge, leur enlever l’avantages de la cavalerie. Un plan simple, un plan efficace. Un plan mortellement efficace…

Tous les dragons fonçaient sur la citadelle. Ils mourraient tous si il le fallait. Une armée protectrice, une armée fraternelle et avant tout, une armée d'hommes libres, combatant de toutes leurs forces pour sauver des personnes qu'ils ne connaissaient même pas. Ils avaient eux le choix, mais ce choix était indiscutable, tous les fibres de leurs corps leur ordonnaient de combatre.

Les cheveaux galopaient avec une syncronisation remarquable. Leurs coeurs battaient la chamade, tout comme celui des hommes. Tous suivaient leurs chefs, leurs sauveurs, leur héros. Kardey et Nari chevauchaient en tête, pour leur principes, pour la vie.

Le vent était avec eux, le soleil était dans leur dos. Ces éléments firent accélérés leur allure. Ils levaient tous la tête, fier, glorieux. Tout ce qui caractérisé les dragons.

Le ciel était dégagé, un temps parfait pour combatre. Un homme de stature impossante et éffrayante ordonna aux ennemis de fermé les portes. Elles commencèrent à se refermé lentement. Sur ce, Nari carressa le robe blanche de Leyn. Ce fidèle destrier accéléra l'allure, suivit de ses confrère.

En voyant les cavaliers se raproché, celui qui semblé être le chef des vikings annula son ordre et demanda à ses soldats d'abandonné les portes et de créer un mur humains.

En voyant les hallebardes, Nari leva une main et l'armée de chevalier ralentit et chevaucha à une vitesse ridicule. Le chef avait un total controle sur ses soldats, sur ses frères d'arme.

Le geste de Nari était totalement réfléchis. Dès que la cavalerie lourde avait ralentis, les vikings purent apercevoir la milice. Le rassemblement de tous les villageois courageux des villages environnant. Un geste de fraternité et de générosité d'offrir leur vie pour des personnes inconnus de leur vie.

La milice fonça vers le mur humain en tuant presque tous les hallebardes à coup de fourches et autres outils agricole. La charge chevaleresque pus continué. L'élant était moindre mais le courage était là.

Malheureusement des archers se dévoilèrent sur les rempart près à lançé une volée.

-Nous avons attendus trop longtemps, ils connaissent maintenant les capasitées défensive de cette citée, murmura Nari.

Un volée atteignie les cavaliers en faisant de terribles pertes. Mais elle continua tout de même

Leyn sauta au dessus d'un hallebarde et atterit sur un viking qui cria à l'agonie. Il y avait trop d'ennemis, beaucoup trop. Même si la chargé avait été dévastatrice, il rester énormément de soldats ennemis. Deux marins lui prirent ses jambes et il tomba lourdement sur le dos. Le sol était boueux, l'armure argenté était
sale, mais cela importait peux au chevalier.

Ils se plaçèrent devant lui pour le transpercé. Soudain, le premier cria de douleur en tombant à terre et le deuxième reçus une épée en pleine poitrine. Kardey était derière les deux corps, l'épée couverte de sang. Nari le remercia d'un signe de tête, se leva, ramassa son épée et repartit au combat.

Il trancha la tête d'un homme quand une flêche lui frolla la joue en rayant son magnifique heaume argenté, quelques gouttes de sang coulèrent sur son cou. Il prit par la gorge un viking se batant avec succés contre un villageois et le plaça entre lui et l'archer. Il reçus une flêche et mourut très vite. Nari prit une de ses dagues et la lança sur l'archer. Celui ci tombit des rempart en criant. Le chevalier d'argent reprit sa dague et repartit au combat.

La victoire était lointène quand les archers préparènt une nouvelle vague de flèches. Certains dragons avaient perdu espoir mais quelque chose vint ralumé leur braises. Une volée de flèches vola en direction des remparts.

-Lassa, soufla Nari en souriant.

Ils étaient tous téméraires, soldats comme vilageois et Nari le premier. Pour la première fois de la journée il se surpris a croire qu'il reviendrait vivant et victorieux L'espoir revenait, un espoir de fou.

La charge des cavaliers se stoppa tout simplement, comme pas enchantement après avoir vu les hallebardes descendre. C’était la chose la plus intelligente à faire, bien que cela ne reste pas vraiment un bon plan.

Mais s’ils ne chargeaient pas, avec quoi pouvaient-ils bien attaquer ? Le paladin de Thor, dans sa tente, devait bien évidement avoir déjà prévu ce cas de figure, mais aucun drapeau ne flottait en haut du mat du drakkar amiral. Il laissait donc les décisions à son second.

Une marrée humaine jaillit d’un coups de derrière les cavaliers, brandissant fourches et faux, parfois même de simples bâtons. C’était donc avec des paysans que les chevaliers que l’on qualifié d’étincelant allait les attaquer ! Pathétique. Pourtant, un frisson parcourrait l’échine du paladin quand il comprit leur nombre, des centaines et des centaines, peut-être même des milliers apparaissaient dans ses champs de vision.

« Combien ? « demanda Odin
« Nos prévisions disaient que la milice serait 10 fois plus nombreuse que nous… » souffla un homme apeuré
« ARCHERS, EN JOU… FEU ! »

Les flèches partirent depuis les créneaux des remparts. C’était la première de ses surprises. Pas la dernière. Les flèches qui brillaient aux soleils foncèrent sur les ennemis qui courraient en troupeaux, et même si l’éblouissement ne leur permettait pas de bien viser, la plupart toucha leur cible à un endroit ou un autre. Des dizaines tombèrent, une flèche dans la jambe, pour se faire piétiner par ceux de derrière qui avait réussit à échapper à la pluie mortelle. Sans armure ni bouclier, c’était de la chaire à canon, tout juste bon à ça.

Et pourtant, les paysans, mués par leur courage et leur cœur, courraient, se rapprochant même de la porte. C’était inimaginable pour le paladin qu’une bande de paysans puissent faire montre d’autant de qualités, brandissant des armes médiocres, là ou des soldats entrainé et équipé tremblaient de peur.

« Nos prévisions sont fausses : Ils ne sont plus que 9 fois plus nombreux que nous… » plaisanta Odin

Malheureusement, personne n’eut le temps de rire de sa blague, trop occupé à dresser sa lance face a l’envahisseur qui arrivait au combat… et faisait n’importe quoi ! Pourquoi tentaient-ils de casser leur hallebarde plutôt que de charger les soldats qui les tenaient ? C’était idiot.

« J’espère que tu t’amuse bien, Général Thor… » pensa Odin « Par ce que moi je me casse la tête sur sa ! »

Quelqu’un moururent, mais les résultats arriva quand même : Toute les lances des hallebardes furent brisé. Le véritable combat au corps à corps allaient t’il commencer ? Les paysans se collèrent au mur d’un coup, laissant voir un spectacle aussi beau qu’horrible, une avancé d’homme et d’argent, de la noblesse et de courage.

« TENEZ LES POSITIONS » beugla le paladin

Et il avança d’un pas, fermant les yeux. Quand il les ouvrit, ils étaient devenus rouges. Rouge sang. Les chevaux foncèrent, et enfoncèrent les rangs des vikings, détruisant a néant une ligne de défense. Un bon plan… Cela dit, leur élan avait été de beaucoup atténué, et ne se poursuivraient pas longtemps. Et au corps à corps, les vikings ne craignaient personne.

Odin, quant-à lui, se dressait simplement ou il était et dansait avec la mort, la donnant à ceux qui avait l’imprudence de s’approcher. Il était dans un état second, il ne contrôlait plus ses actions, et n’avait plus de notion de bien ou de mal, juste d’ennemis et d’ami. Ses coups étaient puissant et précis, rapide à en devenir flou. La mort le suivait, l’encourageait, et moissonnaient les âmes de ses nombreuses victimes. Là où ses soldats avaient perdu 3 mètres de terrains, lui n’avait pas bougé, et était maintenant bien devant le gros des armées. L’aura avait ses avantages…

Enfin, l’élan de la cavalerie se brisa, et les chevaux se stoppèrent, au milieu d’une armée de hache et d’hallebarde. Dans cet étroit passage, l’avantage était à celui qui avait la meilleure infanterie… Et les meilleures positions. En cela, les vikings menaient. Une autre volée de flèches s’envola, s’enfonçant dans les cavaliers et paysans au pied des murailles.

Pourtant quelques choses manquaient pour la victoire totale : Les chevaliers se battait pour leur principe, et voyaient maintenant que la tache n’était pas impossible. Il fallait donc leur détruire une bonne fois pour tout leur espoir. Car avec cet outils, et si on ne faisait rien, ils allaient gagner.

Odin vit un signe de tête à un archer qui décocha une flèche enflammé en l’air. Aussitôt après, une pluie de roc et de flamme s’abattit sur le gros de l’armée bloquait en dehors de la ville. Les trébuchets avaient été avancés. Des centaines de morts furent à dénombré, et les chevaliers ne furent pas épargné grâce à leur armures…

Mais même ainsi, les vikings se bâtaient a 8 contre 1…

Sujet: Re: [Quête] une menace venu de la mer