Appellation (nom) Arvedui, surnommé Démonas Age, si connue 16 ans Groupe / Clan Aucun Grade / Métier Assassin

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L'homme regardait la ville en flamme avec une étincelle de fierté dans ses yeux. De son poste en hauteur, il voyait la porte enfoncé, les échelles maintenant désertes posées sur les murs. Les murs étaient tombés, et c'était maintenant ses archers qui tiraient sur ses ennemis, ses soldats d'abord maintenu par l'étroitesse du chemin gagnaient du terrain. Lui qu’on appelait « Le Barbare » dans ce pays avait triomphé. Mais qu’attendre d’autre de ce splendide général ?
Ah ! Les soldats avaient prise la première ligne de défense. La pluie qui tombait depuis maintenant 3 heures s’intensifia. Un étrange flash apparut dans le ciel, suivit d’un bruit assourdissant. Un éclair.
La bataille venait de se décider pour une éclatante victoire pour le général. Un second éclair. La ville allait être pillée en intégralité, puis le butin serait partagé. Mais pour le moment les soldats prenaient une récompense à plus court thermes. Il hésita lui-même : On lui avait dit que les femmes de se pays était plutôt compatissante avec un couteau sous la gorge de leur enfant…

Le soldat courut dans la ville. Il n’y avait plus de garde. Une femme s’enfui en courant. Elle ne l’intéressait pas. Il fonça vers le château, dans l’espoir d’y trouvé les plus belles femmes. C’était un vétéran de plusieurs raide, et les quelques gardes ne l’arrêtèrent pas. C’était le champion du général, l’homme le plus doué au combat de son armée, et l’un des meilleurs de son peuple. Il entra dans une pièce. Plusieurs femme s’y trouvé déjà, mais aucune ne l’intéressait. Ses hommes les prendraient plus surement. Il avança dans une chambre. La jeune femme qui y vivait avait à peine 17 ans, mais était habillé de riches étoffes.
Il s’approcha d’elle, et elle recula. Il l’accula, et elle tenta de le combattre. Il aimait cela. Il prit ses poignées et sans aucun mal les coinça dans son dos. Une fines cordelette trouvée sur place lui suffit : Ce n’était pas son premier viol. La jeune fille criait à l’aide… Mais toutes les femmes de ce palais devaient être en train de subir le même sort de toute façon, et quant aux hommes… Disons seulement que le soldat ne craignait pas les cadavres baignant dans leur propre sang. Les cris de la femme l’excitaient. Il la jeta sur le lit et releva ses robes. Un bon choix… Il enleva sa cuirasse et s’allongea sur elle.
Une chose remarquable et horrible en même temps ce passa : La vie se forma dans le corps de la pauvre femme. Ce n’était encore qu’une toute petite forme, mais elle grandirait.
Après un moment, l’homme se releva, se rhabilla et regarda la femme attaché. Elle lui avait procuré beaucoup de plaisir, et il décida de la laisser vivre. Elle ne le suppliait même pas, et même après la souffrance qu’il lui avait fournie, elle gardait sa fierté. Décidément, elle lui aurait fait une bonne compagne. Sans même la détacher il tourna les talons et partit. L’aube pointait déjà. Il récupéra quelques objets de valeurs et partit. Les soldats partirent.





L’orage couvrit les pleurs. Dans la petite salle du château ou 4 serviteurs s’agitait autour d’une noble, un miracle et une malédiction apparut. La femme noble laissa tomber sa tête, morte de fatigue. Mais son accouchement avait réussit, le fruit d’une violence atroce 9 mois plutôt après l’attaque de sa ville.
La servante en fut choquée, mais ne répondit rien. Elle prit l’enfant et le donna à la gouvernante. Il était le fils illégitimes de cette cité, le fils de la reine. Mais il aurait mieux fallut qu’il soit le fils du plus pauvre des paysans : Il aurait reçut plus d’amour. La gouvernante le prit sans mot dire. La servante partit. Celle qui devait maintenant s’occuper du garçon baissa la tête et le regarda. Elle faillit le lâcher de surprise
Le garçon était aveugle, ses yeux étaient d’un blanc pur, et sa peau avait presque la même couleur.



Le garçon boita jusqu’à sa chambre à l’aveuglette. Il avait à peine la force de bouger. Il avait 4 ans, mais son visage semblait porter le poids d’une vie entière de souffrance. Il poussa difficilement la porte et entra dans la toute petite pièce. Sa mère dans sa grande bonté avait jugé qu’il n’avait besoin que d’une couverture comme lit et comme seul mobilier. La seule lumière suffisait à peine à voir ses mains et provenait d’une meurtrière. Elle apportait plus de froid que de lumière.
Sa gouvernante était déjà là, il sentait sa présence. Elle avait entendu les cris de souffrance, comme la moitié du château. Ce n’était un secret pour personne que la duchesse bâtait son fils batar. Elle ne dit rien, tout ce qui avait besoin d’être dit avait déjà était dit. Elle l’aida à s’allonger, soigna comme elle put ce qu’elle put et sortit de la chambre, laissant le pauvre Arvedui avec ses larmes.



Arvedui avait 10 ans, et voyait. Personne ne le savait, mes ses yeux d’un si grand blanc lui permettaient maintenant de voir. Il ignorait d’où lui venait se miracle, mais ressentit d’instinct le besoin de le cacher. Il n’avait pas le droit de jouer dans le château –en faite il n’avait pas vraiment de droit particulier- mais il s’était trouvé d’autres occupation. Depuis maintenant 2 semaines, il avait découvert que sa demeure était truffé de sous terrain, sortit de secours, oublié de tous et a découvrir. Jouer au explorateur est le rêve de nombre d’enfant, et cela permettait au moins d’échapper à la furie de sa mère quand elle voulait frapper quelque chose, ou de ce qui était plus ou moins sa mère. Elle n’avait jamais fait aucun effort pour lui cacher ses origines, lui rappelant aussi souvent que possibles pour le faire souffrir. A cet âge, ce genre de propos peut être horriblement douloureux.
Le garçon s’écrasa contre le mur dans un coin sombre. En moins de 2 semaines, il avait découvert comment se camoufler efficacement dans ses explorations. Les adultes passèrent a ras de lui, mais ne le remarquèrent même pas. Il avança rapidement, mais silencieusement.
Un jour sa gouvernante lui avait raconté l’histoire des ombres. On prétendait que certain d’entre eux dégageait une aura de puissance, sombre et lumineuse en même temps. A son âge, il avait du mal à comprendre ce que cela voulait dire, mais aimait l’image. Et même s’il ne savait pas, cette aura, il la possédait. A sa forme assez brute, celle d’une enfant qui ne savait rien, mais elle était là.
Il avançait. Le premier passage secret qu’il avait découvert menait simplement à un simple entrepôt abandonné. Idéal pour jouer, mais Arvedui s’en était vite lassé.
Il avançait. Ses pas étaient légers et souple, silencieux et rapide, sa posture était svelte et efficace. Mais il ne le faisait pas exprès.
Il avançait. Son visage était sérieux, sa concentration totale, et pourtant il ne réfléchissait pas. Son esprit était comme guidé, ses pieds avançaient, mais il ne leurs demandait pas. C’était comme ci quelqu’un d’autre bougeait pour lui. Ses yeux détectait tout, les moindres détails.
C’est donc sans aucun effort qu’il trouva une brique plus vielle que les autres. Il approcha et appuya dessus. Un petit « clac » se fit entendre et un pan de mur bougea légèrement. Une serrure venait de se désactivé.
Il avança et poussa de toutes ces forces. Le mur bougea ! Comme une porte, le pan de mur pivota. Correctement maintenu, ce devrait d’ailleurs être l’égal d’une porte. Il entra dans le tunnel et regarda autour de lui. Une brique également trop vielle par rapport aux autres s’y trouvait. Il ferma donc le mur à l’aveuglette. Ce n’était pas difficile pour lui, vu qu’il avait passé la majorité de sa courte vie aveugle.
Une lumière d’abord, puis une sortie se dessina devant lui. La sortie de ce tunel. Il déboucha dans un puits abandonné. Une échelle permettait de monter, et il l’empruntât. Il était hors du château, en bordure de la ville. Etais ce un rêve ? Il n’avait jamais eut le droit de quitter l’étage ou il vivait, et son monde se résumait donc a peu de chose. Ce passage lui permettait donc bien des choses. Il traversa la ville.

Ce qu’il vu le dégouta et l’enchanta en même temps. Cette ville était salle et rempli de prostitué, de voleur et de bandit. Et malgré se sombre aspect, c’était ses premières images du vrai monde. Il traversa une rue et vit une bande d’adolescent dans un coin. De quoi se cachait-il ? Il avança vers eux, mais quand il arriva peu loin, ils sortirent et l’encerclèrent. Arvedui en dénombra 5. Que lui voulait-il ?
Le garçon s’avança. Dans un coin de sa tête Arvedui remarqua qu’il n’avait pas une démarche souple et qu’il tirait tout de sa force et de la peur de ses ennemis. Il ne savait pas se battre. L’adolescent le frappa. Fort, mais sa mère faisait mieux.
Quelque chose d’étrange se passait. Son corps ne lui appartenait plus, une force nouvelle jaillissait. Son cœur ralentit, son esprit s’accéléra. Il pouvait voir tout le monde d’un regard, même si on le croyait aveugle. Quelque chose de puissant émanait de lui et mettait tout le monde mal à l’aise. Une aura de puissance. Maintenant le garçon comprenait ce que disait sa gouvernante. Sombre par la peur qu’elle infligé, lumineuse par la beauté de son porteur. L’agresseur avait peur, Arvedui le sentait. Mais il ne pouvait tout de même pas se dégonfler devant les autres.
Il lança son bras dans un coup de taille. Arvedui leva le coude et intercepta le coup. Sous la violence du choc, le couteau vola au loin. Trop rapidement pour être décelé, le garçon baissa le coude et frappa la tête de l’attaquant qui tomba.
Le garçon se mit en garde et se retourna d’un coup le pied en l’air. Pleine tête. Il s’abaissa légèrement et se retourna dans une autre direction. Son poing porté par son élan fracassa le genou qui se plia dans une position improbable. Il se prépara à une nouvelle attaque mais ne sentit rien venir. Il se redressa et regarda. Les 3 derniers bandits avaient fui. Il ne restait qu’un homme dans un coin sombre.
Il connaissait cet tenu. Celle d’un maitre assassin. L’homme avait tout vu. Il vint à la rencontre du garçon.
Sans qu’il sache vraiment comment, quand Arvedui revint vers le puits, il était devenu l’apprenti d’un maitre assassin.

Arvedui prit l’arc et le carquois qu’on lui tendait et tourna le dos, irrité au plus au point. C’est son premier jours de son apprentissage et on lui demandait déjà de tuer un homme, comme sa. Il ne fut pas dur de trouver sa cible, c’était le chef d’une bande de guerrier. Elle criait sur un homme qui vendait une sorte de poudre ou d’herbe à des gens ressemblant à des zombies. Elle était entouré d’une armée de garde tous mieux armée les uns que les autres.
Le garçon regarda autour de lui. Comment l’atteindre ? Une façade d’une maison semblait escaladable. Il prit appui sur le rebord d’une fenêtre et grimpa, les prises étant nombreuses se ne fut pas dur de monter sur le toit. Arvedui sentit un phénomène maintenant connu : son corps et son esprit s’échapper de son emprise, il entrait dans un état second où il était mortellement efficace. Il avança à pas léger et silencieux, contrastant avec la sonorité des cris du chef en bas. Une histoire comme quoi il avait perdu un sachet de poudre de « cocaïne ». Quelque chose de précieux apparemment… Peu importe, son chef ne pourrait jamais finir son monologue aussi bruyant qu’irritant.
Le garçon sortit une flèche noire. Une flèche spécial, car il était écrit dessus « Demonas ». Il l’encocha et tira presque sans viser. Pourtant elle atterrit dans l’œil de sa cible. Sa signature était inscrite noir sur rouge. Il pouvait partir. Il tourna les talons et sauta de toit en toit, laissant derrière lui le cadavre et ses gardes trop surpris pour le suivre.
C’était son premier contrat. Pas le dernier.


Dans la ville, on ne parlait plus que du célèbre « Demonas ». L’on prétendait qu’il pouvait se rendre invisible dans certaine taverne. Dans d’autres on disait que c’était simplement un démon, chargé par un Dieu malfaisant de remplir l’enfer d’âme. On prétendait même parfois que Demonas était un nouveau nom de la mort.
Arvedui était content de sa relative célébrité. Il avait à peine tué une vingtaine de personne, tous sans aucune vrai importance et son succès tenait plus de la chance qu’autre chose. Un bruit de pas dans un couloir non loin le rappela au moment. Il regarda la cible en face de lui et lança son couteau. Il rata le centre. Il était dans une des galeries secrète du château, celle qu’il avait transformé en son repaire. Il y avait entreposé toute ses armes, ce qui voulais dire 2 couteaux de lancer de qualité miteuse, son arc et ses flèches faite d’ébène, un peu de cordes et une cible.
Les pas dans le couloir non loin s’arrêtèrent et quelqu’un jura. Sa mère. Rien ne le faisait plus plaisir que d’entendre sa mère aussi énerver et n’arrivant pas à le trouver. Il avait remarqué l’état second qu’il avait, qu’il appelait maintenant « l’aura » était le seul moyen de trouver ces passages, a moins bien sûr de les connaitre déjà.
Il récupéra ses armes et ouvrit la porte. Sa mère le vit sortir. Elle le regarda, puis eut un sourire sadique. Elle n’avait pas vraiment besoin d’une raison pour le frapper, mais c’était tellement plus drôle ! Mais pourquoi son fils ne sortait pas ? Elle entra dans la salle. Personne ? Une main lui couvrit la bouche par derrière. Quelque chose vint se ficher dans son flanc. Elle tenta de se débattre, mais se poignet furent ramener dans son dos, puis un vrai bâillon fut appliqué sur sa bouche. Elle tenta de briser les liens, mais la pique enfoncé dans son dos la faisait souffrir au moindre geste. Elle tourna la tête vers le fils, certain qu’il allait se dégonfler. Quelque chose la pétrifia. Ce n’était plus vraiment son fils. Il ressemblait plus à une ombre. Elle regarda ce qu’elle avait de planter dans le dos. Une flèche noire, écrit dessus en lettre bien rouge « Demonas ». Sa blessure n’était pas vraiment mortelle mais saignait abondamment. Elle cicatrisera, et à ce moment là son fils murerait ! Mais Arvedui tourna les talons et ferma la porte du passage secret. Elle tira sur ses liens mais la douleur la vainquit. C’est alors seulement qu’elle comprit bien des choses sur sa vie. Cette enfant, elle l’avait battu, la haine qui l’avait poussé a cette acte était entièrement sa faute. La porte était fermé, personne ne la trouverai. Il lui fallut plus de 7 heures pour se vider de son sang. Ses souffrances furent si horribles qu’à la fin, elle en était devenue folle.
Lui-même n’avait plus rien à faire ici. Il avança dans les couloirs, puis emprunta le passage par le puits pour sortir du château. Il faisait nuit, mais c’était là qu’il frappait le plus souvent.
Il avait 15 ans, et en aurait bientôt 16 d’ici quelques mois, et ses cheveux d’un blanc pur se coloraient par un rouge sombre. Après avoir retrouvé la vue, il ne s’étonnait plus de se phénomène.
Il arriva enfin face à son maitre. Plutôt son fournisseur de cibles.
Arvedui enleva son arc et lui tendit. Ce n’était qu’un outil d’apprentissage et ce n’était pas le siens.


Arvedui est jeune, à peu près 15-16 ans. Sa musculature n’est pas vraiment développé, et sa mère a toujours fait attention a ce que sa n’arrive pas. Cependant, il semble avoir hérité de certaines compétences presque surnaturelles, ce qu’il appelle l’aura. Sa principale force et sa vitesse d’analyse et sa rapidité et son agilité, ses réflexes.
Il est svelte, sa démarche est celle d’un ombre. Son physique manque de musculature, mais ce détail a part il est d’une beauté à couper le souffle. Il lui suffirait d’avoir ce dernier détail pour faire tomber toute les filles, même s’il l’ignore : Il n’a pratiquement jamais vu de fille de son âge, et encore moins été leur parler. Ses cheveux maintenant totalement rouge sombre contraste avec ses yeux blanc donnant l’impression qu’il est aveugle. Ses première années sans la vue lui ont permit de développer ses autres sens a des points extrême, et il peut se débrouiller dans le noir sans presque aucun problème. Il est vif d’esprit, capable d’assimiler beaucoup en peu de temps. Intelligent, calculateur, il réfléchit toujours à ce qu’un simple geste peut avoir comme conséquence. Il est très timide, surtout en présence de fille de son âge. Il déteste l’autorité, surtout si elle vient d’une femme plus vielle que lui et sera prêt a les tuer.
Mais malgré un grand potentiel, il sait à peine se servir d’arme et le camouflage est le seul moyen pour lui d’assassiner. Il possède un grand talent de ce coté ci mais rien vraiment d’exceptionnel.

Ton petit nom, c'est quoi? x) Arv', Dem', Demonas,Arvedui, Maitre a vous de choisir ^^ Une question? Une remarque? Le graphisme est joli mais Elicia fait mieux d'habitude...? Comment as tu connu le forum? Par une sadique As-tu des remarques sur les membres? je dois faire une liste? La crème de la crème (sauf niveau sadisme ^^) "Juste qu'ils devraient se préparer, mes lames sont aiguisées!" Je me demande quel sadique a inventé ce mot de passe???? ^^

... ... ?? faut répondre quoi? ^^/7, environ ...

Wilkommen Arvedui ! Assassin hein ? Ma guilde t'es ouverte.

En réalité mon personnage aura beaucoup de similitude avec la tienne (et des envis d'ailleur) mais désolé, j'ai déjà fait mon choix.

par contre j'envi beaucoup tes lames secretes... Tu les vends a combien? ^^

Tu veux faire partit des Ombres Mais je suis désolé, seuls les membres de la Lame Noire peuvent s'en procurer. Désolé.

Bienvenue Arvedui

Tentant Al, tentant... mais non! Vengeance pour ma lame secrète!!!^^

Fini! Les valideurs vont avoir du travail : 255 lignes!!!

Bienvenu!! j'ai encore mal aux yeux d'avoir lu tous ça!!!