 Sujet: {Mission} Un dernier geste  Dim 7 Mar - 0:52 | |
| En parallèle du Rp
Les chevaux avançaient dans l’avant nuit, suivit à bonne distance de 5 charrettes transportant une cargaison un peu spécial. C’était une nuit sans lune, et la robe de leur cheval noir était aussi discrète que leur propre armure de rôdeur.
Arvedui n’en revenait toujours pas que c’est lui, simple apprenti sans expérience, que l’on avait choisit pour cette mission aussi importante… et suicidaire. Peut-être était ce pour cela en faite ? Mais cela l’étonnerais, car les ombres ne sacrifiais jamais des soldats dans ce type de raide. Surement un test pour voir la loyauté.
Peu importait, sa mission était déjà prévu, et il s’y mettrait à fond. Enfin ils sortirent de cette forêt. C’était là qu’il avait réunit ce matériel en prévision de l’attaque sur la citadelle. Et pour le moment, a par peut-être des difficultés météo, personne n’avait encore commis de fautes.
Il était maintenant à l’étape la plus dur du voyage : ne pas se faire remarquer. Il y avait 2 solutions, soit Arvedui envoyait des éclaireurs mais baissait l’escorte des chariots, soit il allait lui-même. La deuxième solution était celle qui paraissait le meilleur et Démonas décida de l’utiliser. Il partit en éclaireur.
Précaution inutile, comme le prouva les 2 heures suivantes. Le timing était bon, pour le moment. Car la forteresse était là, sur son haut plateau, hideux et effrayant. Tout en haut, l’on pouvait voir les corbeaux qui volaient au dessus de la forteresse, annonciateur de massacre. 2 colonnes de fumées émanaient des bâtiments, renforçant son effet cauchemardesque.
La troupe arriverait dans quelque minute. Mais Démonas avait quelque chose à faire avant. Il leva le bras et fit un sifflement spécial, si aigu que seul certain animaux pouvait l’entendre. Un aigle s’y posa. Personne ne savait comment il avait fait, mais Arvedui avait réussit à lui apprendre une sorte de code qui lui permettait de parler avec l’aigle par des sifflements. C’était presque prodigieux, car, même si cela manquait de vocabulaire, l’aigle pouvait remplir le rôle de compagnon et d’espion.
« 15 sentinelles sur les murs, 2 devant la porte, des centaines qui picolent ? Bien compris » Répondit Arvedui au sifflement de son oiseaux « Vas y, et si il y a du nouveau viens me voir »
Un de ces soldats sortit de la forêt. Il voyait bien à sa tête qu’il ne comprenait pas le lien particulier que Démonas avait tissé avec son oiseau, mais qu’il ne respectait. Cela n’avait aucune importance. Toute les hommes sortirent de la forêt, un à un, suivit bientôt des chariots et d’une bête noire. Le loup d’Arvedui, une bête aussi magnifique que puissante.
« Rien de nouveau ? » Demanda l’apprenti
« 2 éclaireurs nous on vu, mais Loupiot les a… Rattrapé. » Dit un des rôdeurs
Encore une fois, Arvedui put se féliciter d’avoir adopté son loup. Même si maintenant, il ne méritait plus vraiment le nom de loupiot, c’était un nom qu’adorait lui donner son maitre.
« Je vous fait vite fait le briefing. Roger et Robert, vous vous occupez de trouver des documents qui nous seraient utile. Le reste, vous connaissez déjà vos cibles. Faites le plus de dégâts possible, mais ne vous faite pas découvrir avant que le plan soit terminer.
»Les rôdeurs, vous me suivez, les chariots vous attendez en bas. Quand mon aigle viendra se poser, grimpez le plus vite possible. Exécution »
Les hommes se séparèrent et commencèrent à escalader le plateau chacun de leur coté. C’était une tâche difficile, mais les hommes était entrainer depuis bien longtemps. La chose fut rapide, et ils arrivèrent au pied des murailles. 10 grappins jaillirent foncèrent vers le ciel, mais la graviter les fit redescendre.
Démonas avait déjà lancé le siens et commençait déjà à monter. Une sentinelle baissa la tête pour regarder d’où venait cette corde. Un couteau le cueillit en pleine tête. Le garçon jaillit sur les murs, aussi silencieux que peut l’être un homme. Il regarda autour de lui, et aperçut 10 formes sur les murs, ces rôdeurs. Une musique étouffée arriva aux oreilles d’Arvedui. Il était là, dans une espèce de tour-taverne.
Arvedui siffla en ultrason, et son faucon descendit en piquet vers le bas du plateau. Arvedui leva la tête. Il n’y avait plus aucun corbeau. Nul doute que son oiseau avait un petit creux. Cette penser fit sourire le jeune assassin, mais il n’avait pas le temps de se laisser distraire. L’oiseau revint bientôt, et un simple regard suffit pour voir que les charrettes montaient. La lourde herse remontait déjà, et les portes seraient bientôt ouvertes. Pour le moment, personne ne sortait de la tour, mais par mesure de sécurité, Arvedui assigna 4 de ses hommes armée d’arc à viser la sortie. La porte était ouverte. Les charrettes s’arrêtèrent devant la porte. Elles transportaient tous de grands barils. De grands barils chargés à ras bord de poudre noir, extrêmement puissant.
Le matériel avait du couter une fortune. Mais si la mission réussissait, alors les gains seraient à la hauteur. Les barils furent décharger, et la plupart furent poser contre les piliers qui soutenait le mur. C’était là que la charge devrait être le plus puissant. Puis les hommes prirent chacun un petit baril de poudre sur leur dos et commencèrent à se séparer.
Démonas s’était réserver le coin le plus dangereux de cette mission, le pilier principal du donjon. 5 barils comme le siens appliquer a chaque fois sur un pilier et la moitié de la base, et tout les hommes qu’elle contenait, partirait en fumée. Mais ce serait surement garder, et une seule faute serait fatale.
Quelque chose de noir entra par la grande porte. Loupiot. Son regard brillait dans le noir, et ses muscles roulaient sous sa fourrure. Il avança dans les couloirs accompagné par son maitre. Le jeune Démonas était rassuré par la présence de son compagnon, car son odorat, son flair et son odorat était autrement plus puissant. Le chien s’arrêta et gronda très faiblement. Démonas tendit l’oreille et entendit 2 pas qui avançaient. Il prit 2 couteaux à sa ceinture et les glissa dans des étuis aux niveaux des bras. Une pâle imitation des lames secrète de la lame noir vu qu’il pouvait juste les faire tomber dans ses mais, mais c’était tout de même mieux que rien. Il sortit ensuite ses couteaux. Il s passèrent devant lui sans penser à tourner la tête pour regarder sur leur gauche.
Grave erreur qu’il ne commettrait plus. Arvedui se glissa derrière eux, sortit ses dagues des ombres et planta ses épées dans leurs cous. Aucun remord, c’était des mercenaires du Chaos, des brutes assoiffé de sang qui tuait pour le plaisir. Des idiots pour la plupart.
Les corps tombèrent. Il ne pouvait pas les cacher, il les laissa là. Il partit vers sa cible. Le couloir était garder, c’était prévu. Démonas sortit donc 2 couteaux de sa ceinture et se débusqua de sa cachette. Un sifflement, les corps tombèrent avant de comprendre ce qui leur arrivait.
Il entra dans la pièce. C’était une splendide salle, bien meublé. Un trône occupait la place central, collé a un piler particulièrement gros.
Quelque chose sonna. Des cloches. On avait du découvrir les cadavres, et il viendrait surement par là. Déjà il entendait dans le couloir des hommes approcher. Il courut, ferma les porte et les bloqua avec une hallebarde. Quelque chose frappa contre la porte à peine quelque instant après. Le temps pressait.
Démonas courut et s’approcha du trône et déposa le baril. Il ne devait pas le faire éclater, pas encore. Il devait donc tenir encore 10 minutes. Il se mit devant la porte et arma ses couteaux de lancer. Sa dernière barrière faiblissait, déjà des éclats de bois volaient. Il se prépara à ce que quelqu’un entre, mais il en fut tout autre. Une fiole vola et s’écrasa à ses pieds. Le temps qu’il comprenne, il était déjà à terre… Seulement endormi, heureusement.
Quand il se réveilla, il était au plus profond de la montagne à ce qui lui sembla. Il était encore en vie, ce qui voulait dire qu’il avait échoué. Il se releva et attendit. Au bout de ce qui lui parut une éternité, des hommes entrèrent. 3. Surement un officier et 2 sous-fifres. En effet, celui du centre parla :
« Regardez donc sa ! Un apprenti ombre ! C’est déplorable ! » Dit l’homme « Et regardez ce qu’on a trouvé sur un corps : une carte »
Ses hommes avait donc du terminer leur mission avant de se faire tuer. C’était un cas de figure prévu, et s’il restait un homme, cela suffisait. Les charges étaient assez près les unes des autres pour exploser si un seul prenait feu.
Les hommes sortirent chacun une arbalète et l’armèrent. Il n’avait que 2 couteaux, il ne pourrait donc pas s’en sortir. Il décida tout de même de tenter le coup et, d’un mouvement brusque, arracha la protection qui retenait les couteaux caché dans ses manches. Ils tombèrent dans ses mains, avant d’être lancer et d’atterrir dans la poitrine des sous-fifres. Le dernier ne semblait pas s’en occuper et continuait de charger son arbalète. Enfin il commença à viser minutieusement.
C’était donc comme cela qu’il mourrait ? Au plus profond du coin pommé du monde ? En prison ? Mais cela ne se finit pas, pas encore. L’homme tomba en avant, une bête noir sur son dos lui mordait la nuque. Loupiot lui avait sauvé la vie. Encore une fois.
Arvedui se baissa et réussit, grâce à une savante contorsion à prendre les clés sur le corps, puis à ouvrir la porte. Il lui fallait maintenant retrouver ses armes, puis faire sauter une charge. Il courut le plus vite possible. Il pila, tombant presque. Un coffre. Garder. Loupiot partit devant et tua le garde. Au moins sa de fait.
Démonas remercia les dieux pour lui avoir donné Elicia. C’est elle qui lui avait apprit à crocheter les serrures. Après avoir bataillé pendant quelques minutes, un petit clic se fit entendre et le coffre s’ouvrit. Ses armes étaient dedans. Il boucla sa ceinture, enfila son armure et courut dans les couloirs, dagues en mains. Au premier virage, il croisa 2 hommes. Il était déjà trop tard pour la discrétion, et il devait se frayer un passage. L’un des 2 hommes tenta une attaque maladroite en donnant de grands coups de taille devant lui. Démonas para et tua l’homme. Il rattrapa le cadavre avant qu’il ne tombe et l’envoya bouler sur l’autre soldat. Le cadavre et l’homme tombèrent. Le jeune assassin n’avait pas le temps de finir le travail. Il reprit sa course effrénée. Des hommes tentèrent de l’arrêter, mais il réussit à les esquiver. Le souffle commençait à manquer. Il arriva enfin devant la double porte de la salle du trône. Il y entra. Elle était occupée par le chef des mercenaires.
C’était un homme d’une corpulence moyenne, pourtant on savait que ces muscles étaient tout sauf décoratif. Il portait sa hache comme si elle pesait rien, et se déplaçait comme un fauve. Il était tout au moins aussi dangereux que le chef des ombres.
Et il devait l’affronter. Ce serait un combat sans merci, ou il ne pourrait y avoir qu’un seul et un unique gagnant. Ou 2 perdants. Les gardes dans la salle ne cillèrent pas et seul le chef se dirigeait vers lui. Il devait savoir que c’était l’apprentie Elicia, et voulait avoir sur elle cette victoire. Il ne lui donnerait pas si facilement. Il avait un plan.
Des larmes coulaient, il tremblait de peur. Il se tourna vers le loup et lui demanda de fuir. Loupiot l’observa un moment, puis obéît après un petit geignement. Arvedui releva la tête vers l’homme. Son adversaire souriait de toutes ces dents, ne comprenant pas pourquoi Démonas avait autan de peine.
La mémoire du jeune assassin partit dans le passé. Il contempla sa jeunesse misérable, puis son apprentissage avec ce traitre qui c’était servi de lui. Son esprit resta bloqué sur le cadavre d’un homme, un innocent assassiné pendant une fuite. Au bout de ce qu’il sembla une éternité, et pour son grand malheur, il passa sur des événements heureux. Son affection au final pour son maitre, sa rencontre avec ses animaux. Son aigle, son loups, sa maitresse, son clan. Tous sa aller disparaitre pour la simple et bonne raison qu’il voulait se sacrifier pour une cause. Et cela, il ne l’aurait jamais fait avant.
Il observait le guerrier en face de lui, puis sortit ses dagues. Une image dans son esprit passa. Une forêt tropicale. Le soleil était haut, et pourtant, il faisait nuit. L’on y voyait comme pendant le jour mais le ciel était noir. Et ce combat au milieu de la végétation. Un loup noir attendait, ramasser sur lui-même, prêt à bondir. Face à lui se trouvait un immense tigre. Si grand, si fort, que le pauvre loup n’avait aucune chance. Pourtant il restait là, pour défendre ce qui semblait être son territoire… Non, sa meute comprit Arvedui. La vision disparut, elle n’avait duré qu’une fraction de seconde
Le mercenaire avançait, mais Arvedui ne le voyait presque pas. Ses yeux était flou, encombré de larmes. Il tremblait, mais ces membres n’avait jamais été aussi fort, ses gestes aussi précis. L’homme en face de lui ne s’encombrait pas d’entrée spectaculaire. Il lança un coup prévisible, mais si rapide et puissant qu’il aurait pu marcher. Arvedui bondit en arrière puis aussitôt ré-avança. Le timing était bon, il respectait la danse. Qui manquerait le rythme en premier ? Et le jeune assassin tiendrait-il une musique prolongé ? Les larmes quittèrent ses yeux, sa vision revint. Il lança un coup de dague, que l’homme esquiva comme si de rien n’était. Le coup de hache qui suivit fut particulièrement rapide, et le garçon dut d’accroupir pour éviter le coup. D’un geste souple et rapide, il donna un grand coup de dague dans les jambes de son adversaire, mais les jambières étaient tout simplement indestructibles. Démonas sauta en arrière et roula pour se relever. L’homme fonçait déjà sur lui. L’assassin prit un couteau et le lança sur son adversaire. Il l’esquiva, comme il esquiva le suivant : Avec tellement de facilité qu’on aurait pu croire qu’il jouait. La hache partit. Arvedui roula sur le coté et se releva aussitôt. Un énorme point le cueillit en pleine poitrine. Il vola à plus d’un maitre.
« C’est donc tout ce que les ombres sont capables de faire ? » Demanda le barbare « Et bien, avant que tu meurs, je vais te prédire l’avenir. Je vais tuer ton clan, tous. Les étriper. Mais je garde le meilleur pour ta salope de maitresse. Car je passerais dessus, je la forcerais à me supplier avant de tuer, je l’étriperais. Mais tu ne seras pas là pour le voir. Echec et Math»
Etait-il si nul que cela ? Ne pouvait-il pas réussir cette mission avant de mourir ? Et s’il ne le faisait pas, es ce que cette avenir se réaliserais. Quelque chose vint interrompre ses réflexions.
Le tigre attaquait, se lançant dans un saut incroyable ! Le loups esquiva et tenta de mordre le coup du tigre. Malgré sa puissante masse, le fauve esquiva et en profita pour lui donner un sérieux coup de griffe. La puissance força le loup à considérablement reculer. Mais il refusait de perdre sa meute et revint à la charge. Le combat était simplement magnifiquement horrible. Un massacre d’une beauté irréel. Un enchainement d’esquive et d’attaque. Mais le loup perdait son sang et fatiguait, et à un moment, il se fit surprendre par un vicieux coup de tête. Il vola jusqu’à se briser sur un arbre. Il geignit, la douleur devait être horrible. Le tigre passa son chemin et se dirigea vers une tanière remplit de loupiots, en direction d’un ravin.
Cette vision fut précédée de nombre d’autre. Arvedui vit un homme particulièrement fort se battre dans des décors exotiques, et toujours triompher. Un homme au regard blanc et aux cheveux rouges. Un homme bon mais qui faisait parfois le mal pour son plaisir personnel. Il vit la nuit de sa conception. Puis il vit l’homme parler, lui parler.
«Tu es mon fils. Tu dois mes haïr, mais sache que je t’ai fait le plus beau cadeau. Car à toi seul j’ai donné une partie de mon gain céleste. Il était très faible, mais cela pourra peut-être te sauver la vie. Tes yeux et tes cheveux sont ma marque. Ta vision retrouvée est aussi ma marque. Tu es mon héritier. Maintenant, fini ta mission, quoi qu’elle en coute, car tu mourras de toute façon » déclara… son père
Les paroles de son adversaire fâchèrent profondément Démonas. Il ne pourrait jamais laisser passer un tel acte. Il devait les empêcher. Il sentait une énergie passer dans son corps. Pas une énergie trompeuse comme celle que produit la colère, mais une énergie puissante et rapide. L’Aura, le cadeau de son vrai père.
Le garçon se releva, et ses yeux étincelaient. Oublié la douleur, oublié les souffrances. Il devait abandonner tout ce qu’il avait, pour les sauver. Il devait le faire. Il ramassa ses dagues, et reprit la dance sous la douce mélodie funèbre.
Les coups s’enchainèrent, vite et rapide, les 2 hommes avançaient et reculaient. Puis ne reculèrent plus. Arvedui s’éloigna suffisamment pour signifier son envie de parler. Il était a bout, mais avait réussit.
« Je vais mourir, tu as raison » Dit Arvedui en prenant une torche « Mais je vous emporte tous avec moi. Ton ordre est détruit. Echec et Math »
Il lâcha la torche, et le feu prit sur le siège. Un chuintement propre à une mèche de poudre se fit entendre. Il n’y avait plus qu’à espérer que tous avait réussit a suffisamment bien camouflé les leurs. Arvedui resta à coté, un demi-sourire. Toute sa vie passa devant lui, et il ne vit pas grand-chose. Mais ses derniers souvenirs furent heureux, et sa mort noble. Peut-être ce simple geste rattraperait t’il une vie de débauche et de crime. Il vit le sourire bien aimant de la Déesse qu’il servait. Il allait la rejoindre dans une seconde.
Une dernière vision. Le loup se relevait, il avait un regard nouveau en direction des tigres. Il courut, le tigre était presque sur ces petits ! Mais il était rapide et puissant malgré ses blessures. Il était condamné, et il aurait été tellement plus simple de simplement mourir. Mais non, il voulait encore se battre, un dernier geste pour sa meute. Il chargea et percuta le tigre. L’élan ou le choc les poussa tout les 2 dans une seule et même direction. Le ravin. La dernière chose que vit Arvedui, fut le loup et le tigre tomber, puis il put voir les loupiots sains et sauvent. Il sourit
Un bruit assourdissant, un mur de flamme, puis une pluie de débris. Plus loin, une deuxième explosion, l’effet en chaine fut parfais, et tout le château partit en fumée. Il n’y eut comme seul témoin que son aigle, et son loup. Les témoins prirent le chemin du retour et partirent pour rejoindre Elicia, leur dernière connaissance humaine.
Les mercenaires du Chaos avait périt, et même si cela avait demandé bon nombre de sacrifice, le gain pour les générations futur fut bon.
Et peut être la Déesse que louait Arvedui lui pardonnerait sa vie ?
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| DémonasApprenti Ombre / Assassin Messages : 202
Date d'inscription : 28/02/2010
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